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Difference between revisions of "Henry de Sainct Didier"

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| End of the said six targets A, which is also the end of the fourth point.
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| End of the said six targets, which is also the end of the fourth point.
  
 
| Fin desdicts six lieux, qui est aussi la fin du quatriesme poinct.
 
| Fin desdicts six lieux, qui est aussi la fin du quatriesme poinct.
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| The fifth is that it is necessary to be defending and offending at the same time with the said three strikes, adapting and throwing at the said targets, both in attacking and in defending observing well the time that is required. All of which will then be shown and declared at length in the instruction of this sword only.
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| Le cinquiesme est, qu’il fault sçavoir soy deffendre & offencer à un mesme temps desdits trois coups, adaptez & tirez aux susdits lieux, tant en assaillant qu’en deffendant observant bien le temps qui est requis. Dont le tout sera cy aprés monstré & declaré au long à l’instruction de ceste espée seule.
 
| Le cinquiesme est, qu’il fault sçavoir soy deffendre & offencer à un mesme temps desdits trois coups, adaptez & tirez aux susdits lieux, tant en assaillant qu’en deffendant observant bien le temps qui est requis. Dont le tout sera cy aprés monstré & declaré au long à l’instruction de ceste espée seule.
  
 
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| The sixth and last point is one of the good ones that is required to know in all of the art, which is to decide which the strikes that could be thrown, both in attacking and in defending, because being able to decide easily will find a remedy, otherwise it will not. And to do this we must look at the point of the sword, and never lose sight of it, and in doing so, we will easily decide which strike, deciding we will find a way of defending and offending at the same time, as I promised.
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| Le sixiesme & et dernier poinct est un des bons qui soit requis de sçavoir en tout l’art, qui est juger du coup qui se peut tirer, tant en assaillant qu’en deffendant, car le jugeant facilement on y trouvera son remede, autrement non. Et pour ce faire faut regarder la pointe de l’espée, & ne la perdre jamais de veue, & en ce faisant, facilement on jugera du coup, le jugeant on trouvera moyen de soy deffendre & offencer, comme j’ay promis à un mesme temps.
 
| Le sixiesme & et dernier poinct est un des bons qui soit requis de sçavoir en tout l’art, qui est juger du coup qui se peut tirer, tant en assaillant qu’en deffendant, car le jugeant facilement on y trouvera son remede, autrement non. Et pour ce faire faut regarder la pointe de l’espée, & ne la perdre jamais de veue, & en ce faisant, facilement on jugera du coup, le jugeant on trouvera moyen de soy deffendre & offencer, comme j’ay promis à un mesme temps.
  
 
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| The reason for deciding the said strikes is that outside, which is the said point of the sword, directs and leads by the inside, which is the will, and not knowing the point of the sword, which is the outside, is to be so skillful that the observation, and consequently the observation of deciding the strike and gaining time. The observation and the gained time could succeed and preceed the said outside, which is the said strikes that the Lieutenant could throw on the defending Prevost, and there we can find the remedy.
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| La raison pour juger d’un desdits coups est que l’exterieur, qui est ladite pointe de l’espée, se conduit & meine par l’interieur, qui est la volonté, & ne scauroit la pointe de l’espée, qui est l’exterieur, estre si habile que la veue, & par consequent la veue fait juger du coup, & gaigner le temps. La veue & le temps gaignées peuvent succeder & prealler<ref>précéder. « Préaller » subsiste en français sous la forme « préalable ».</ref> ledit exterieur, qui est l’un desdits coups que le Lieutenant peut tirer sur le Prevost deffendant, & par là on peut trouver son remede.
 
| La raison pour juger d’un desdits coups est que l’exterieur, qui est ladite pointe de l’espée, se conduit & meine par l’interieur, qui est la volonté, & ne scauroit la pointe de l’espée, qui est l’exterieur, estre si habile que la veue, & par consequent la veue fait juger du coup, & gaigner le temps. La veue & le temps gaignées peuvent succeder & prealler<ref>précéder. « Préaller » subsiste en français sous la forme « préalable ».</ref> ledit exterieur, qui est l’un desdits coups que le Lieutenant peut tirer sur le Prevost deffendant, & par là on peut trouver son remede.
  
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| So the said Author, without a moment passing answered him and said that such responses contain two leads, by which he responded wrong, whereas there is a response which is plural, and the other singular. The plural is worthless, given the above reason, the singular which si when he said above on the five blow is also not pertinent. The reason because there are too many and so must be removed.
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| Alors le dit Autheur, sans bien peu d’intervalle luy respondit & dit que telles responses contenoient deux chefs, par lesquels il avoit mal respondu, attendu qu’il y a une response qui est plurielle, & l’autre singuliere. La plurielle ne vaut rien, la raison est cy dessus donnée, la singuliere qui est quand il a dit cy dessus de cinq bottes n’est aussi pertinente. La raison par ce que il en y a trop & par ainsi en faut oster.
 
| Alors le dit Autheur, sans bien peu d’intervalle luy respondit & dit que telles responses contenoient deux chefs, par lesquels il avoit mal respondu, attendu qu’il y a une response qui est plurielle, & l’autre singuliere. La plurielle ne vaut rien, la raison est cy dessus donnée, la singuliere qui est quand il a dit cy dessus de cinq bottes n’est aussi pertinente. La raison par ce que il en y a trop & par ainsi en faut oster.
  
 
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| Seeing this the said Fabrice, that I say we must remove some of the strikes of the said blows, replied to know of my true definition and secret, and said to me, Sir S. Didier, why have you said these responses that I said above, that of multitude blows and of five blows are not well responded by me?
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| Voyant ce, ledit Fabrice, que je dits qu’il falloit oster quelques coups desdites bottes, me repliqua pour scavoir de moy la vraye definition & secret, & me dit, Seigneur de S. Didier, pourquoy avez-vous dit que les responses, que je dy cy dessus, de plusieurs & de cinq bottes n’estoient par moy bien ne deuement respondues ?
 
| Voyant ce, ledit Fabrice, que je dits qu’il falloit oster quelques coups desdites bottes, me repliqua pour scavoir de moy la vraye definition & secret, & me dit, Seigneur de S. Didier, pourquoy avez-vous dit que les responses, que je dy cy dessus, de plusieurs & de cinq bottes n’estoient par moy bien ne deuement respondues ?
  
 
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| Responding a second time the said Author, and saying that truly such abovesaid responses are worthless, at least the plural, as has been defined above, and will be shown later as an example.
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Respond derechef ledit Autheur, & dit que veritablement telles susdites responses ne valloient rien, au moins la plurielle, comme a esté definy cy dessus, & sera monstré cy aprés comme par exemple.
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| Respond derechef ledit Autheur, & dit que veritablement telles susdites responses ne valloient rien, au moins la plurielle, comme a esté definy cy dessus, & sera monstré cy aprés comme par exemple.
  
 
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| If one will say and will interrogate a camp master, and we asked him how many times the enemy can come to a camp, and he answered from several: I say that such a response would be uncertain, and consequently not pertinent, whereas when we ask such aforementioned questions to a camp or other masters, such must be certain of their responses. Otherwise are not worthy to rule or govern a camp nor republic, since it is necessary to be sure of how many times the enemy can come to a camp, to that end that we can put as many as a hundred, for the preservation and safekeeping of it.
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| Si on disoit & interrogoit un maistre de camp, & on luy demandast de combien d’advenues l’ennemy peut venir sur un camp, & qu’il respondit de plusieurs : Je dy que telle response seroit incertaine, & par consequent n’est pertinente, attendu que quand on fait telle susdittes interrogations à un maistre de camp ou autres, tels doivent estre certains de leurs responses. Autrement ne sont dignes de regir ne gouverner un camp, ne republiques, attendu qu’il faut estre certain de combien d’advenues l’ennemy peut venir sur un camp, à celle fin qu’on y puisse mettre autant de centinelles, pour la conservation & garde d’iceluy.
 
| Si on disoit & interrogoit un maistre de camp, & on luy demandast de combien d’advenues l’ennemy peut venir sur un camp, & qu’il respondit de plusieurs : Je dy que telle response seroit incertaine, & par consequent n’est pertinente, attendu que quand on fait telle susdittes interrogations à un maistre de camp ou autres, tels doivent estre certains de leurs responses. Autrement ne sont dignes de regir ne gouverner un camp, ne republiques, attendu qu’il faut estre certain de combien d’advenues l’ennemy peut venir sur un camp, à celle fin qu’on y puisse mettre autant de centinelles, pour la conservation & garde d’iceluy.
  
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The third point that is required, and we have to watch that when we are playing tennis to have another racket other than the one we want to use, and tell the opposing party to throw the racket, to see who will be in or out, and they then say to throw your own, if he gives you freedom throw the bad one and not the good one, and for the reason that will be declared afterwards, and if he wants to throw his own, let him throw it away because throwing it weakens the cord, wasting it since the cords are loosened, and thus it will not be able to serve as well as it had done before. We could say, we will ask for another, respond at this that it is possible to not be able to find so well in the hand as the one that had previously found that did not want to keep, because very often a racket is an advantage as a good sword is also the advantage that one will overcome his enemy.
 
The third point that is required, and we have to watch that when we are playing tennis to have another racket other than the one we want to use, and tell the opposing party to throw the racket, to see who will be in or out, and they then say to throw your own, if he gives you freedom throw the bad one and not the good one, and for the reason that will be declared afterwards, and if he wants to throw his own, let him throw it away because throwing it weakens the cord, wasting it since the cords are loosened, and thus it will not be able to serve as well as it had done before. We could say, we will ask for another, respond at this that it is possible to not be able to find so well in the hand as the one that had previously found that did not want to keep, because very often a racket is an advantage as a good sword is also the advantage that one will overcome his enemy.
  
The fourth point, having carefully observed all that is said, remains to be seen on which step, it is necessary to take to perform well the said art of the said tennis, and to serve the ball well on the roof, and give a wicked game as much as possible throughout the game. I say that as good practice for all the said strikes being multiplied, and to serve well, it is necessary to be held on the left foot for the first time, and almost always while doing a pirouette on that: looking for the ball on the side it will travel. Someone might say I don't know where the ball will go, and cannot decide. One should consider when deciding where the ball will be hit by their opposing party. Observing him and decide where he wants to hit it, this is very good. But I'll give one that's better, and the apparent reason. This aforementioned judgment is often deceptive because by the observing, one cannot surely decide what the innerself wants to do and execute, which is to direct and cast the ball. I only want to decide based on where the opposing party can cast it. Do not observe him because he will deceive you, but look closely at the ball that is being served. And never lose sight of the said ball because whoever is outside direct and leads without being misled by the inside, and the will of your opposing party, and yet being sure of your hand, without fail you will easily defeat your opponent, and not observing, because looking at him you will think that he casts the ball at you in the opposite direction of his gaze, and the inside will be entirely different, and nevertheless, you could be deceived by looking at your opposing party, yet you will never be looking at the ball. And it is the argument that I have made of said fencing, which must look at the tip of the sword, and not at the intent of the man.
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The fourth point, having carefully observed all that is said, remains to be seen on which step, it is necessary to take to perform well the said art of the said tennis, and to serve the ball well on the roof, and give a wicked game as much as possible throughout the game. I say that as good practice for all the said strikes being multiplied, and to serve well, it is necessary to be held on the left foot for the first time, and almost always while doing a pirouette on that: looking for the ball on the side it will travel. Someone might say I don't know where the ball will go, and cannot decide. One should consider when deciding where the ball will be hit by their opposing party. Observing him and decide where he wants to hit it, this is very good. But I'll give one that's better, and the apparent reason. This aforementioned judgment is often deceptive because by the observing, one cannot surely decide what the inside wants to do and execute, which is to direct and cast the ball. I only want to decide based on where the opposing party can cast it. Do not observe him because he will deceive you, but look closely at the ball that is being served. And never lose sight of the said ball because whoever is outside direct and leads without being misled by the inside, and the will of your opposing party, and yet being sure of your hand, without fail you will easily defeat your opponent, and not observing, because looking at him you will think that he casts the ball at you in the opposite direction of his gaze, and the inside will be entirely different, and nevertheless, you could be deceived by looking at your opposing party, yet you will never be looking at the ball. And it is the argument that I have made of said fencing, which must look at the tip of the sword, and not at the intent of the man.
  
 
''I do not put these said reasons for those who understand them, but on the contrary for those who do not understand them.''
 
''I do not put these said reasons for those who understand them, but on the contrary for those who do not understand them.''

Revision as of 04:46, 11 January 2021

Henry de Sainct Didier
Born 1530s (?)
Pertuis, Provence
Died after 1584
Paris, France (?)
Occupation Fencing master
Patron Charles IX of France
Influences
Influenced Salvator Fabris (?)
Genres Fencing manual
Language Middle French
Notable work(s) Les secrets du premier livre sur l'espée seule (1573)
Translations Traducción castellano
Signature Henry de Sainct Didier sig.png

Henry de Sainct Didier, Esq. was a 16th century French fencing master. He was born to a noble family in Pertuis in the Provence region of France, son of Luc de Sainct Didier. Sainct Didier made his career in the French army, ultimately serving 25 years and seeing action in Piedmont, Italy from 1554 - 1555. He wrote of himself that he "lived his whole life learning to fight with the single sword" and eventually "reached a point of perfection" in his art. Apparently he became a fencing master of some renown, for in ca. 1573 he secured a royal privilege for a period of ten years for treatises on a number of weapons, including the dagger, single side sword, double side swords, sword and buckler, sword and cloak, sword and dagger, sword and shield (both rotella and targe), and greatsword. Unfortunately, only his treatise on the single side sword, titled Les secrets du premier livre sur l'espée seule ("Secrets of the Premier Book on the Single Sword") and printed on 4 June 1573, is known to survive; it seems likely that the others were never published at all.

Treatise

Additional Resources

  • Hyatt, Robert Preston and Wilson, Devon. "The Single Sword of Henry de Sainct Didier." Masters of Medieval and Renaissance Martial Arts. Ed. Jeffrey Hull. Boulder, CO: Paladin Press, 2008. ISBN 978-1-58160-668-3
  • Sainct Didier, Henry de. The Single Sword of Henry de Sainct-Didier (Traicté Contenant Les Secrets Du Premier Livre Sur L'Espée Seule). Trans. Robert Preston Hyatt and Devon Wilson. Boulder, CO: Paladin Press, 2009. ISBN 978-1581607048
  • Slee, Chris. Secrets of the Sword Alone. LongEdge Press, 2014. ISBN 978-0646926353

References

  1. Pristin : ancien, antérieur
  2. Insertion du « a ».
  3. Dupuis describes this as a wooden board placed in the back wall of the tennis court which, if hit by a volley, is scored immediately. In modern tennis, this board is replaced by a grid.
  4. « L'es », habituellement orthographiée « ais », désigne une planche de bois placée dans le mur du fond de la salle de jeu de paume qui, si elle est touchée par un coup de volée, donne le point immédiatement. Dans le jeu de paume moderne, cette planche est remplacée par une grille. Il est possible que cet « ais » ait donné le terme anglais d'« ace » que les étymologies modernes confondent avec l'« as » du jeu de carte. Voir la définition d' « ais » de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert.
  5. L’esteuf : ancien nom pour la balle.
  6. précéder. « Préaller » subsiste en français sous la forme « préalable ».
  7. Il s’agit très probablement du maître d’arme italien Fabris Salvator de Padoue (1544-1617). Voir la note sur Fabris Salvator de Vigeant p. 162 et aussi les références à ses publications (Vigeant p. 55-56)
  8. Version alimentaire de l’adage « blanc bonnet et bonnet blanc ».
  9. Transcription la plus sûre du texte : « gran d erre »
  10. Serviteur du grand prêtre venu arrêter Jésus au Mont des Olivier et dont l’oreille coupée a été immédiatement guérie. Selon la lecture du passage, il est parfois pris pour celui qui soufflète Jésus.
  11. Un des anciens nom de l’abeille.
  12. Sens incertain ; peut-être s'agit-il d'une mauvaise graphie de « filial ».
  13. drillant : étincellant, brillant (dictionnaire de Nicot).
  14. Correction du texte d’origine donnant « peid ».
  15. Cette correction sur les images d'Henri de Saint-Didier indique que celles-ci ont été réalisées avant la version finale du texte.
  16. Le « o » de troisiesme est curieusement placé en exposant.
  17. Suppression du doublement de l'esperluette.
  18. Proposition de correction de l’édition originale qui donne « gauche », en incohérence avec la gravure et le texte plus bas qui confirme que la posture du Lieutenent est identique à celle de la section précédente où c’était bien le pied droit qui était reculé.
  19. Deuxième remarque de l'auteur sur les gravures montrant que le texte a été retouché après réception des gravures. À comparer avec une remarque similaire faite dans le i.33.
  20. Correction du texte d’origine donnant « Leiutenent ».
  21. Correction de l'édition originale qui omet lors d'un changement de page le début du mot « haute »
  22. La position de la main illustrée a les doigts au-dessus, en opposition avec le texte.
  23. Proposition de correction pour « bessoin »
  24. Proposition de correction pour « avan-main »
  25. Proposition de correction pour « couté »
  26. Proposition de correction pour « Vola ».
  27. Proposition de correction pour « ongle »
  28. Sens inconnu.
  29. La tuition est un synonyme de « garde », « défense », très souvent employé à cette époque pour appuyer le mot « défense ».
  30. Proposition de correction pour « Provost »
  31. Proposition de correction de « du–sixiesme »
  32. Proposition de correction pour « persent ».
  33. Proposition de correction pour « le ongles ».
  34. Le triangle représenté ici n'est pas correct, celui cotté 65 paraît rendre mieux compte du déplacement proposé.
  35. Proposition de correction pour « Lieutent ». La marque indiquant une contraction a probablement été omise.
  36. On pourrait compléter : « ...et le mettre en 4 ». L'illustration 73 est incorrecte puisque le pied gauche est resté sur la semelle 1 et n'est pas placé sur la semelle 3 (à gauche) comme demandé ; la position des pieds de l'illustration 75 correspond à ce qui aurait dû être représenté.
  37. Proposition de correction pour « dh’aut »
  38. Sic.
  39. Le prévôt représenté ici ne correspond pas au texte puisqu'il se tient sur le pied droit.
  40. Le prévôt de la figure 80 n’est pas sur le pied gauche comme écrit et mais reste cohérent avec la figure 78.
  41. Il faut évidemment lire ici « Prevost ».
  42. Proposition de correction pour « suprint »
  43. Sic.
  44. Suppression du doublement de l'esperluette dans « sa cuisse gauche, & & tous ».
  45. Sic. Au XVIe siècle, le genre des mots était encore indécis.
  46. L’auteur annonce ici une prochaine édition augmentée de son oeuvre qui n’a a priori jamais eu lieu.
  47. Proposition de correction pour « ou ».
  48. Proposition de correction pour « mostré »
  49. Du latin médiéval « inquinatum » signifiant « pour combien »
  50. Dilection : attachement, amour pur.
  51. Un vidimus est la copie certifiée d'un acte antérieur.
  52. Il doit s'agit de Pierre ou Jean Brûlart (tout deux avait une charge au Parlement) qui signe pour le roi.